Cultiver la Joie
Il faut être attentif à ses sentiments et à ses pensées afin de trouver de la joie qui est en nous.
C’est aussi mener ses réflexions joyeusement et voir la joie en soi ... Bien des situations dans la vie font que ces joies nous épanouissent nous-mêmes ou bien avec les autres. Et rien n’est plus beau et plus merveilleux que de les vivre.
Aussi pour penser juste, il est nécessaire d’orienter ses pensées sur ce qui est le plus sain dans notre vie. Cette orientation délibérée est la clé d’une vie joyeuse. C’est aussi le meilleur de nos plans d’action qui mène à la félicité et finit par attirer une vie merveilleuse que nous recherchons tous.
Vous recherchez la joie. Aussi, n’allez pas trop loin. Elle est à votre portée. Elle est en vous-même et ce, ‘qui vous êtes vraiment’. Cultivez-la !
Nous sommes constamment en accord vibratoire avec notre Etre Intérieur ou notre Moi intime qui nous guide en toutes circonstances, de ce que nous désirons vraiment.
« Ne cherchez pas trop loin ce qui est devant votre porte »
Accueillez-la !
dimanche 29 novembre 2009
mercredi 25 novembre 2009
La Voie Toltèque et la Liberté
La voie Toltèque et la liberté
Sur la planète, le monde parle de liberté. Mais, sommes-nous tous vraiment libres ? Et que sommes-nous véritablement. Et qui nous empêche d’être vraiment libres ?
A ces questions que nous nous posons, voici les réponses.
Nous ne sommes pas véritablement ‘nous-mêmes’ car nous ne parvenons pas à être Soi (ou notre Moi profond).
Voyons un enfant de deux à quatre ans environ. Il est complètement libre, il est sauvage, il fait ce qu’il veut, car il n’est pas encore domestiqué. Il s’amuse, il n’a pas peur de jouer et il explore le monde avec un grand sourire.
Les enfants n’ont aucune crainte d’exprimer ce qu’ils ressentent. Ils ont tellement d’amour en eux que lorsqu’ils le perçoivent, ils se fondent en lui et n’ont aucune peur d’aimer.
Mais que s’est-il passé pour l’adulte ? Notre esprit a été programmé. La société humaine l’a voulu ainsi. Nos parents nous ont appris et nous ont enseigné ce qu’ils savaient en faisant de leur mieux.
Aussi il est temps de se libérer du rôle de Victime ou de Juge qui régissent notre existence. Notre vrai Moi, c’est ce petit enfant qui n’a jamais grandi et qui surgit quand vous vous amusez, vous jouez, vous vous sentez alors heureux
Mais la question qui nous a transformé s’appelle ‘Responsabilité’.
Observez un enfant jouant à l’adulte, sa petite mine change et son visage se transforme, c’est l’expression de l’adulte qui prend le dessus et c’est bien le visage que nous affichons lorsque nous sommes nous-mêmes. Notre nature est comme l’enfant et nous avons perdu notre liberté. Ce que nous recherchons enfin, c’est être nous-mêmes pour exprimer ce que nous sommes vraiment.
Observons notre vie, la plupart du temps, nous agissons simplement pour faire plaisir à autrui ou pour être accepté par les autres, plutôt que de vivre notre vie pour nous faire plaisir à nous-mêmes.
Voilà ce qui est arrivé à notre liberté. Nous sommes ainsi tous domestiqués et inconscients de ne pas être libres.
Allez vers l’étape de la liberté. Votre conscience vous permet de vous rebeller et de dire : ‘Cà suffit’. Cherchez le moyen de guérir pour transformer votre rêve personnel. Maîtrisez-le.
Etre un Toltèque est un mode de vie dans lequel n’existent ni leaders, ni disciples, chacun vit sa propre vérité. Un Toltèque devient sage et il redevient libre.
Aussi il consiste à être conscient de qui l’on est vraiment, avec toutes ses possibilités.
Mais comment changer ?
En se libérant de sa domestication et en créant de l’intention. Du point de vue des Toltèques, la transformation devient possible dans notre énergie.
Créer de l’intention, c’est créer la vie en elle-même, dans l’amour inconditionnel de notre vie.
Sur la planète, le monde parle de liberté. Mais, sommes-nous tous vraiment libres ? Et que sommes-nous véritablement. Et qui nous empêche d’être vraiment libres ?
A ces questions que nous nous posons, voici les réponses.
Nous ne sommes pas véritablement ‘nous-mêmes’ car nous ne parvenons pas à être Soi (ou notre Moi profond).
Voyons un enfant de deux à quatre ans environ. Il est complètement libre, il est sauvage, il fait ce qu’il veut, car il n’est pas encore domestiqué. Il s’amuse, il n’a pas peur de jouer et il explore le monde avec un grand sourire.
Les enfants n’ont aucune crainte d’exprimer ce qu’ils ressentent. Ils ont tellement d’amour en eux que lorsqu’ils le perçoivent, ils se fondent en lui et n’ont aucune peur d’aimer.
Mais que s’est-il passé pour l’adulte ? Notre esprit a été programmé. La société humaine l’a voulu ainsi. Nos parents nous ont appris et nous ont enseigné ce qu’ils savaient en faisant de leur mieux.
Aussi il est temps de se libérer du rôle de Victime ou de Juge qui régissent notre existence. Notre vrai Moi, c’est ce petit enfant qui n’a jamais grandi et qui surgit quand vous vous amusez, vous jouez, vous vous sentez alors heureux
Mais la question qui nous a transformé s’appelle ‘Responsabilité’.
Observez un enfant jouant à l’adulte, sa petite mine change et son visage se transforme, c’est l’expression de l’adulte qui prend le dessus et c’est bien le visage que nous affichons lorsque nous sommes nous-mêmes. Notre nature est comme l’enfant et nous avons perdu notre liberté. Ce que nous recherchons enfin, c’est être nous-mêmes pour exprimer ce que nous sommes vraiment.
Observons notre vie, la plupart du temps, nous agissons simplement pour faire plaisir à autrui ou pour être accepté par les autres, plutôt que de vivre notre vie pour nous faire plaisir à nous-mêmes.
Voilà ce qui est arrivé à notre liberté. Nous sommes ainsi tous domestiqués et inconscients de ne pas être libres.
Allez vers l’étape de la liberté. Votre conscience vous permet de vous rebeller et de dire : ‘Cà suffit’. Cherchez le moyen de guérir pour transformer votre rêve personnel. Maîtrisez-le.
Etre un Toltèque est un mode de vie dans lequel n’existent ni leaders, ni disciples, chacun vit sa propre vérité. Un Toltèque devient sage et il redevient libre.
Aussi il consiste à être conscient de qui l’on est vraiment, avec toutes ses possibilités.
Mais comment changer ?
En se libérant de sa domestication et en créant de l’intention. Du point de vue des Toltèques, la transformation devient possible dans notre énergie.
Créer de l’intention, c’est créer la vie en elle-même, dans l’amour inconditionnel de notre vie.
dimanche 22 novembre 2009
Citations sur le Pain
Citations sur le pain
Aujourd’hui, je suis allée chez mon boulanger. Dans son étal, des pains bien ronds et dorés trônaient fièrement.
J’ai demandé une ‘marguerite’, si belle et si onctueuse et le boulanger me l’a emballée dans un sachet en papier où étaient inscrits toutes ces citations sur le pain. Certaines je les connaissais, mais d’autres je les ai découvertes.
Aussi, j’ai désiré vous les faire partager.
Bonne lecture
« Mieux vaut pain en poche que plume au chapeau » C’est tout ce qui est superficiel qui n’a pas de valeur réelle et ne nourrit pas
« Etre bon comme du bon pain » C'est être bon
« Mieux réussir en pain qu’en farine » C’est terminer heureusement une affaire mal engagée
« Avoir mangé plus d’un pain » C’est avoir beaucoup voyagé
« Avoir son pain cuit » C’est être rentier
« Etre au pain menu » C’est être dans une mauvaise situation matérielle
« Pour qui a faim, tout est pain » C’est qu’on est moins difficile quand on manque de quelque chose
« Donner du pain de chapitre à quelqu’un » C’est faire des reproches à quelqu’un
« Faire des petits pains » C’est faire des manières. Prendre des airs intéressants pour parler de rien
« Pleurer le pain que l’on mange » C’est être avare
« Le pain est le pilier de la vie » de Jonathan Swift
Aujourd’hui, je suis allée chez mon boulanger. Dans son étal, des pains bien ronds et dorés trônaient fièrement.
J’ai demandé une ‘marguerite’, si belle et si onctueuse et le boulanger me l’a emballée dans un sachet en papier où étaient inscrits toutes ces citations sur le pain. Certaines je les connaissais, mais d’autres je les ai découvertes.
Aussi, j’ai désiré vous les faire partager.
Bonne lecture
« Mieux vaut pain en poche que plume au chapeau » C’est tout ce qui est superficiel qui n’a pas de valeur réelle et ne nourrit pas
« Etre bon comme du bon pain » C'est être bon
« Mieux réussir en pain qu’en farine » C’est terminer heureusement une affaire mal engagée
« Avoir mangé plus d’un pain » C’est avoir beaucoup voyagé
« Avoir son pain cuit » C’est être rentier
« Etre au pain menu » C’est être dans une mauvaise situation matérielle
« Pour qui a faim, tout est pain » C’est qu’on est moins difficile quand on manque de quelque chose
« Donner du pain de chapitre à quelqu’un » C’est faire des reproches à quelqu’un
« Faire des petits pains » C’est faire des manières. Prendre des airs intéressants pour parler de rien
« Pleurer le pain que l’on mange » C’est être avare
« Le pain est le pilier de la vie » de Jonathan Swift
jeudi 19 novembre 2009
Citation de la Vie
La Vie
La jeunesse ne s'altère jamais
Dans notre coeur et notre âme, elle est là
La vie n'a pas d'âge, même si les souvenirs nous le rappellent
Notre enfance nous a rempli de joies nostalgiques
Ici et maintenant, nous pensons et nous sommes là.....
La Vie nous aime
L'histoire ne s'est donc pas achevée
L'aventure est belle, rien ne peut attrister son miroir
Soyons libre, en toute quiétude
La jeunesse ne s'altère jamais
Dans notre coeur et notre âme, elle est là
La vie n'a pas d'âge, même si les souvenirs nous le rappellent
Notre enfance nous a rempli de joies nostalgiques
Ici et maintenant, nous pensons et nous sommes là.....
La Vie nous aime
L'histoire ne s'est donc pas achevée
L'aventure est belle, rien ne peut attrister son miroir
Soyons libre, en toute quiétude
lundi 16 novembre 2009
Acrostiche : Aimer Autrui
Aimer autrui
A -Aimer et risquer peut-être un non-retour
I - Ici ou maintenant !
M -Montrer, en dévoilant son moi profond
E -Exposer, lorsque ses idées sont toutes en accord
R -Rire dans une science de bonne santé
A -Autre ou chacun, une façon de s’engager joyeusement
U -User la part de ses rêves comme bonne nourriture
T -Totalement, dans notre vie à tout instant
R -Ressentir, dans le changement et pourquoi pas ‘grandir’
U -Utile, en mesurant tous les risques
I -Idem, en toutes choses, le dire et le faire modérément
A -Aimer et risquer peut-être un non-retour
I - Ici ou maintenant !
M -Montrer, en dévoilant son moi profond
E -Exposer, lorsque ses idées sont toutes en accord
R -Rire dans une science de bonne santé
A -Autre ou chacun, une façon de s’engager joyeusement
U -User la part de ses rêves comme bonne nourriture
T -Totalement, dans notre vie à tout instant
R -Ressentir, dans le changement et pourquoi pas ‘grandir’
U -Utile, en mesurant tous les risques
I -Idem, en toutes choses, le dire et le faire modérément
mercredi 11 novembre 2009
Le quatrième accord toltèque : "Faites toujours de votre mieux"
Le quatrième accord toltèque « Faites toujours de votre mieux »
Quand faire de son mieux en songeant que le mieux ne sera jamais le même car tout change constamment au fil du temps. Aussi il ne faut pas dépenser plus d’énergie qu’il n’en faut, car ce mieux sera alors insuffisant. A contrario, à en faire moins, c’est aussi s’exposer aux frustrations, à la culpabilité et aux regrets.
Une petite histoire : Il était une fois un homme qui voulait transcender sa souffrance. Il se rendit dans un temple bouddhiste pour trouver un Maître qui puisse l’aider et lui demanda :
« Maître, si je médite quatre heures par jour, combien de temps me faudra-t-il pour atteindre la transcendance ? »
Le Maître le regarda et lui dit : « Si tu médites quatre heures par jour, peut-être parviendras-tu à transcender ton existence dans dix ans ». Convaincu qu’il pouvait faire mieux, l’homme lui demanda : « Oh, Maître, et si je méditais huit heures ? »
Le Maître lui répondit : « Il te faudra probablement vingt ans »
« Mais pourquoi autant ? Interrogea l’homme.
Le Maître lui répondit : « Tu n’es pas là pour sacrifier ta joie et ta vie. Tu es là pour vivre, pour être heureux et pour aimer. Consacrer huit heures, tu ne feras que te fatiguer, tu passeras à côté de ton objectif et tu n’apprécieras pas ton existence. Qu’importe la durée de ta méditation, tu dois vivre, aimer et être heureux »
Faire de son mieux, c’est passer à l’action et prendre plaisir à ce que l’on fait. C’est jouir pleinement dans notre vie par des joies. Voilà pourquoi on doit toujours agir pour le mieux et cet accord est libérateur.
Agir dans l’action, c’est être vivant, c’est exprimer ce qui se passe ici et maintenant car le présent n’est autre que ce qu’on est vraiment.
Nous sommes vivants, aussi embrassons notre vie et apprécions en « faisant de notre mieux ».
Quand faire de son mieux en songeant que le mieux ne sera jamais le même car tout change constamment au fil du temps. Aussi il ne faut pas dépenser plus d’énergie qu’il n’en faut, car ce mieux sera alors insuffisant. A contrario, à en faire moins, c’est aussi s’exposer aux frustrations, à la culpabilité et aux regrets.
Une petite histoire : Il était une fois un homme qui voulait transcender sa souffrance. Il se rendit dans un temple bouddhiste pour trouver un Maître qui puisse l’aider et lui demanda :
« Maître, si je médite quatre heures par jour, combien de temps me faudra-t-il pour atteindre la transcendance ? »
Le Maître le regarda et lui dit : « Si tu médites quatre heures par jour, peut-être parviendras-tu à transcender ton existence dans dix ans ». Convaincu qu’il pouvait faire mieux, l’homme lui demanda : « Oh, Maître, et si je méditais huit heures ? »
Le Maître lui répondit : « Il te faudra probablement vingt ans »
« Mais pourquoi autant ? Interrogea l’homme.
Le Maître lui répondit : « Tu n’es pas là pour sacrifier ta joie et ta vie. Tu es là pour vivre, pour être heureux et pour aimer. Consacrer huit heures, tu ne feras que te fatiguer, tu passeras à côté de ton objectif et tu n’apprécieras pas ton existence. Qu’importe la durée de ta méditation, tu dois vivre, aimer et être heureux »
Faire de son mieux, c’est passer à l’action et prendre plaisir à ce que l’on fait. C’est jouir pleinement dans notre vie par des joies. Voilà pourquoi on doit toujours agir pour le mieux et cet accord est libérateur.
Agir dans l’action, c’est être vivant, c’est exprimer ce qui se passe ici et maintenant car le présent n’est autre que ce qu’on est vraiment.
Nous sommes vivants, aussi embrassons notre vie et apprécions en « faisant de notre mieux ».
jeudi 5 novembre 2009
"Soyons à la fleur de notre vie"
"Soyons à la fleur de notre vie"
Cette phrase me semble douce, tendre et volontaire.
Aussi il est bon d'être dans une bonne philosophie et percevoir chaque jour la vie d'une nouvelle manière.
Si notre attitude mentale est positive, nos facultés dites curatives se mettent en place, interviennent en nous soulageant de nos inquiétudes et font barrages à nos émotions. Nos espoirs vers le futur s'en trouvent bien améliorés.
Aussi éviter l'inquiétude, transformer-la en son sens opposé.
Effacer l'anxiété car notre corps produit une décharge d'adrénaline qui détermine notre instinct de survie. Des effets nocifs incluent des difficultés respiratoires, des maux de tête, du stress, un mal de dos, etc. et provoquent surtout une immense fatigue générale.
Aussi, éviter de dilapider notre bonne énergie. A la ménager, il est plus raisonnable de pacifier tous les conflits. Si c'est de la colère, lui barrer la voie, il suffit parfois, soit de la noter ou bien de l'observer en son début plutôt que de réagir avec elle.
Evacuer donc toute négativité de sa conscience par des exercices simples respiratoires, du yoga ou de la méditation ou tout simplement par des pensées positives qui sont un bon réflexe. Alors les troubles liés au stress devraient diminuer, voire disparaître.
"Soyez calmes et sereins tout le jour, suivant aussi la nuit".
Cette phrase me semble douce, tendre et volontaire.
Aussi il est bon d'être dans une bonne philosophie et percevoir chaque jour la vie d'une nouvelle manière.
Si notre attitude mentale est positive, nos facultés dites curatives se mettent en place, interviennent en nous soulageant de nos inquiétudes et font barrages à nos émotions. Nos espoirs vers le futur s'en trouvent bien améliorés.
Aussi éviter l'inquiétude, transformer-la en son sens opposé.
Effacer l'anxiété car notre corps produit une décharge d'adrénaline qui détermine notre instinct de survie. Des effets nocifs incluent des difficultés respiratoires, des maux de tête, du stress, un mal de dos, etc. et provoquent surtout une immense fatigue générale.
Aussi, éviter de dilapider notre bonne énergie. A la ménager, il est plus raisonnable de pacifier tous les conflits. Si c'est de la colère, lui barrer la voie, il suffit parfois, soit de la noter ou bien de l'observer en son début plutôt que de réagir avec elle.
Evacuer donc toute négativité de sa conscience par des exercices simples respiratoires, du yoga ou de la méditation ou tout simplement par des pensées positives qui sont un bon réflexe. Alors les troubles liés au stress devraient diminuer, voire disparaître.
"Soyez calmes et sereins tout le jour, suivant aussi la nuit".
dimanche 1 novembre 2009
Le troisième accord toltèque "Ne faites pas de suppositions"
"Ne faites pas de suppositions"
(Résumé d'après le livre de Don Miguel Ruiz)
Il ne faut pas croire que nos suppositions sont vraies. Il est important d'avoir un esprit clair et poser les vraies questions. L'interprétation est la base de la médisance.
Mais comment fonctionne l'esprit humain?
Il a besoin de tout justifier, de tout expliquer, en se rassurant par des réponses qui ne sont pas toujours justes. L'esprit humain est ainsi. Voilà pourquoi il fait des suppositions.
Soyons un peu plus "nous-mêmes" avec les autres et ne pensons pas qu'ils peuvent nous juger ou nous critiquer. Aussi arrêtons-nous et réfléchissons. Que faut-il faire?
"Etre ce que l'on est", sans aucune hypothèse erronée, ainsi nous communiquerons clairement. C'est une manière de vivre qui change complètement les relations conflictuelles.
Si tous les humains communiquaient de la sorte, il n'y aurait ni guerre, ni violence, ni incompréhension, les problèmes humains se règleraient de façon claire et sereine. Cela semble facile, cependant c'est plus difficile de les mettre en oeuvre.
La difficulté dans nos habitudes est que nous interprétons tout avec beaucoup d'inconscience. Il est nécessaire de les amener au temps présent, c'est un premier pas à franchir et très important.
Jour après jour, avec de la volonté et des fondements solides, nous développerons une nouvelle habitude, qui maîtrisera notre esprit et nous deviendrons alors un être rempli d'amour envers les autres et nous agirons avec beaucoup de gratitude.
Aussi : "Notre parole sera impeccable".
(Résumé d'après le livre de Don Miguel Ruiz)
Il ne faut pas croire que nos suppositions sont vraies. Il est important d'avoir un esprit clair et poser les vraies questions. L'interprétation est la base de la médisance.
Mais comment fonctionne l'esprit humain?
Il a besoin de tout justifier, de tout expliquer, en se rassurant par des réponses qui ne sont pas toujours justes. L'esprit humain est ainsi. Voilà pourquoi il fait des suppositions.
Soyons un peu plus "nous-mêmes" avec les autres et ne pensons pas qu'ils peuvent nous juger ou nous critiquer. Aussi arrêtons-nous et réfléchissons. Que faut-il faire?
"Etre ce que l'on est", sans aucune hypothèse erronée, ainsi nous communiquerons clairement. C'est une manière de vivre qui change complètement les relations conflictuelles.
Si tous les humains communiquaient de la sorte, il n'y aurait ni guerre, ni violence, ni incompréhension, les problèmes humains se règleraient de façon claire et sereine. Cela semble facile, cependant c'est plus difficile de les mettre en oeuvre.
La difficulté dans nos habitudes est que nous interprétons tout avec beaucoup d'inconscience. Il est nécessaire de les amener au temps présent, c'est un premier pas à franchir et très important.
Jour après jour, avec de la volonté et des fondements solides, nous développerons une nouvelle habitude, qui maîtrisera notre esprit et nous deviendrons alors un être rempli d'amour envers les autres et nous agirons avec beaucoup de gratitude.
Aussi : "Notre parole sera impeccable".
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